Cette page est une collection de citations, faits divers, etc. censés être drôles. Mais l'humour des économistes reste souvent incompris. N'hésitez donc pas à quitter cette page dès maintenant.

« Un économiste, un chimiste et un physicien sont échoués sur une île déserte avec comme seul moyen de survie des boîtes de conserves, mais pas d’ouvre-boîtes... Le chimiste propose : " Il n’y a qu’à les mettre dans l’eau de mer et attendre que le sel ronge le métal. ". Le physicien propose : " On les pose sous un cocotier et on attend que des noix de coco les brisent en tombant. ". L’économiste prend alors la parole : " Bon, posons notre première hypothèse : nous avons un ouvre-boîte "... Elle est de Paul A. Samuelson, prix Nobel d’Economie en 1970 ».

• « Dans une montagne, un économiste rencontre un berger et son troupeau de moutons. L’économiste dit au berger : " Je vous parie un mouton que je suis capable de vous dire immédiatement combien vous avez de moutons. ". Le berger, confiant accepte le pari. L’économiste lui dit alors " Vous en avez exactement 253 ". Le berger, un peu halluciné, reconnaît que c’est vrai et lui dit : " Ben, oui, allez-y prenez-en un. ". L’économiste prend son mouton, mais au moment de partir le berger le rappelle et lui dit : " Attendez, moi je vous parie un mouton que je trouve votre profession. ". L’économiste, confiant, accepte. Le berger lui dit : " Vous êtes économiste. ". L’économiste stupéfait lui dit : " Oui, mais comment vous avez su ? ". Le berger lui répond alors : " Rendez-moi mon chien et je vous explique..." ».

• « Combien faut-il d’économistes de Chicago (fief de l’école libérale américaine, dont viennent Milton Friedman et Robert Lucas entre autres) pour changer une ampoule ? Aucun, si elle doit être changée, le marché s’en chargera ».

• « Combien d’économistes marxistes faut-il pour changer une ampoule ? Aucun. Elle porte en elle les germes de sa propre révolution ».

• « Combien d’économistes néoclassiques faut-il pour changer une ampoule ? Ca dépend du taux de salaire d’équilibre ».

• « Combien d’économistes keynésiens faut-il pour changer une ampoule ? Huit. Un pour changer l’ampoule et les sept autres pour maintenir toutes les autres choses égales par ailleurs dans la pièce ».

Un professeur d'économie et deux de ses élèves ont été interpellés après avoir lamentablement échoué dans le braquage d'une dame qui apportait à la banque 50.000 euros, fruit de la collecte d'un club d'épargne, a-t-on appris dimanche de source judiciaire.

Le professeur, enseignant dans un lycée de Sarrebourg (Moselle), avait confié ses soucis d'argent à ces deux élèves, de jeunes majeurs, qui lui étaient tout dévoués.

 

L'un d'entre eux, qui s'apprêtait à conduire en voiture à la banque la présidente de l'association du club d'épargne, a proposé à l'enseignant de renflouer ses finances grâce à ces 50.000 euros providentiels. Cet élève est le fils du vice-président de l'association, qui collecte des fonds pour l'achat groupé de cadeaux de Noël.

 

Jeudi, l'autre élève a fait le guet pour aider son professeur à braquer la dame dans sa voiture, à l'aide d'un pistolet non chargé qui n'avait pas servi depuis 30 ans. Mais il n'a pu arriver à ses fins, car ses lunettes de soleil le gênaient pour agir, a-t-on précisé de source judiciaire.

 

En outre, l'enseignant a oublié dans la voiture de la présidente son téléphone portable, permettant de retrouver sa trace dès vendredi.

 

Les trois "pieds-nickelés" ont été placés en garde à vue. Ils ont été convoqués lundi devant le tribunal correctionnel de Metz dans le cadre d'une procédure en comparution immédiate.

"Un vendeur de chapeaux, au reveil d'une sieste sous un arbre, constate que toutes ses marchandises lui ont été dérobées par un groupe de singes qui se sont réfugiés à la cime des arbres. Consterné, il ôte son propre couvre-chef et le jette à terre. Les singes, connus pour leur capacité d'imitation, jettent alors les chapeaux volés, et c'est ainsi que le colporteur récupère tous ses articles et peut continuer sans encombre son voyage. Un demi-siècle plus tard, son petit-fils, qui exerce le même métier pose ses marchandises sous le même arbre avant d'entamer une sieste. Au réveil, il découvre avec consternation que tous les chapeaux ont été volés par quelques singes qui se sont réfugiés au sommet des arbres. Il se rappelle alors l'histoire de son grand-père, ôte son propre couvre-chef et le jette par terre. Mais, mystérieusement, un seul singe descend le rejoindre. Tenant fermement le chapeau dans sa main, il marche vers le vendeur et le gifle en s'exclamant : "Tu penses vraiment être le seul à avoir un grand-père ?"".

Si cette histoire vous a fait rire, c'est que vous êtes un être humain normal. Car un économiste, lui, n'aurait pas ri. Il aurait vu dans cette histoire un problème sérieux de théorie des jeux renvoyant au fait que les prédictions de la théorie sont dépendantes des hypothèses que l'on fait sur les types de joueurs et leurs croyances sur les types des autres joueurs. Par exemple, ce qui est dit habituellement de l'équilibre dans le dilemme du prisonnier dépend des hypothèses selon lesquelles chaque joueur est un homo oeconomicus et il est de connaissance commune que chaque joueur est un homo oeconomicus. Effectivement, cela devient beaucoup moins drôle.